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«Les jeunes arabes peuvent s’identifier à moi» -.

«Les jeunes arabes peuvent s’identifier à moi» -.
«Les jeunes arabes peuvent s’identifier à moi» -.

Dans une interview à l’agence Reuters, le pilote de Racing Bulls Isack Hadjar est également retourné à ses origines et à sa double nationalité franco-algérienne. Une «particularité» qu’il traduit par une force supplémentaire. Mais aussi comme la responsabilité de représenter deux pays. Mais aussi pour représenter la jeunesse arabe, à la force de leur travail… et, sans aucun doute aussi, de leur talent.

Le plus conscient de l’histoire, se souviendra que, strictement, le premier pilote de Formule 1 nord-africain à n’avoir jamais participé à une course F1 a été le franco-marocain Robert La Caze, invité au Grand Prix du Maroc au volant d’un F2 en 1958. Une autre époque. 67 ans plus tard, c’était un autre pilote binational de Maghreb, le franco-algérien Isack Hadjar, qui a l’intention de parler du monde entier pour sa performance de piste. Fraîcheur exceptionnelle quand il parle devant les médiasLe pilote de Bulls Racing, âgé de seulement 20 ans, fait exploser par l’exposition de ses émotions, qu’elle le veuille ou non.

Hadjar ouvre son comptoir après seulement 3 GP

Enfant du bal – il a commencé le karting à partir de l’âge de 5 ans -, Isack a fait ses premiers pas dans la catégorie Queen of Motorsport en Australie en mars de cette année grâce au suivi de l’équipe de Red Bull Junior. Un premier grand prix catastrophique, car nous nous souvenons qu’à Melbourne pendant le GP inaugural de la saison 2025 en Australie, le vice-champion 2024 de Formule 2, piégé par la pluie a planté son seul plaignant… dans le tour d’entraînement. Inconsolable après cet accident, la recrue a néanmoins été rapidement achetéeouvrant son compteur de points au Japon, de son 3e GP, avec une 8e place brillante.

Nouvelle livrée pour la voiture d’Isack Hadjar ce week-end à Miami© Twitter

Isack Hadjar conscient de ses responsabilités

Dans une interview avec Reuters ces derniers jours, Isack Hadjar est notamment revenu à sa double nationalité et les responsabilités qui l’accompagnent: «Je pense que je représente deux pays.» En ce qui concerne ses origines – son père est algérien, sa mère libanaise -Algérie -, le coéquipier de Liam Lawson met ses pieds dans le plat: «Je suis le premier pilote arabe de la planète à accéder à la Formule 1. C’est énorme! Personne n’en parle vraiment mais c’est énorme. «Aurait-il presque amusant. Parce que sous ses airs d’un jeune homme insouciant, Isack, qui monte en F1 sous licence française, sait qu’il n’est pas autorisé à faire quoi que ce soit: «Les jeunes arabes peuvent s’identifier à moi. Cela montre que tout est possible à force de travail et à condition de le croire. Je ne me sens pas investi d’une mission, mais je suis conscient que je représente plus que ma famille et leur pays d’origine. “

Un pilote de sang humble et chaud

Dans les colonnes de libération, Isack Hadjar s’est décrit comme un garçon courageux avec «un menton très solide, du sang chaud et un freelance». Très humble, jusqu’à ce que vous vous sentiez parfois gêné par tant de «chance», comme lorsqu’il a dit sa première visite dans les installations où sa voiture a été construite: «C’était un peu ennuyeux d’être devant les 700 employés qui ne travaillaient que sur ma voiture. Certains pourraient être mes parents. «Avec le rouge blanc-blanc de France et ce blanc, vert et rouge d’Algérie dans un bandoulière et repeindre les murs de sa chambre, Isack Hadjar peut continuer à rêver en grand? Et ce week-end, pour le Grand Prix de Miami…

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