
Le Britannique semble être impuissant pour le moment pour faire avancer sa voiture dont il a énuméré les lacunes après les qualifications manquées à Miami.
Troisième dans le sprint de la course à Miami, Lewis Hamilton n’a pas pris longtemps de l’amincissement dans un début de saison très monotone. Quelques heures après ce podium, le Britannique est descendu de son petit nuage en signant une 12e place inquiétante en qualification pour le Grand Prix (dimanche à 22h00). Charles Leclerc a fait mieux avec une 8e position sans jamais pouvoir se mêler à la bataille pour la première ligne.
Hamilton répertorie les problèmes sur la Ferrari
Une nouvelle sous-performance pour le clan Ferrari, seulement 4e du championnat des fabricants. Charles Leclerc pointe vers la 5e rangée du classement des pilotes tandis que Hamilton est traîné 7e, avec une 5e place à Bahreïn pour un meilleur résultat. Après les qualifications, «King Lewis“ n’a pas pris de gants pour analyser la situation compliquée en Floride. «La situation est que la voiture n’est pas assez rapide. La situation est que la fenêtre dans laquelle elle fonctionne… est presque impossible à voir»a laissé tomber le pilote au microphone du canal + avant de détailler: «Elle est très incohérente d’un tour à un autre. Nous avons des problèmes avec les freins, des problèmes d’équilibre, un tas de choses. Nous faisons de notre mieux, mais même notre meilleur niveau ne suffit pas.»
Le Britannique à court de solutions
Quelles solutions apportent alors au SF-25 distantes par ses rivaux du clan McLaren et Red Bull? Hamilton ne cache pas une certaine impuissance. «Vous devez continuer… à ce niveau, je ne sais pas, il vous suffit de continuer à essayer»il a conclu.
Au milieu de cette gristé, le vasteur Frédéric a tenté d’apporter une petite sérénité en remobilisant ses troupes. Aucune question, pour le patron du cheval praticien, céder à la panique et au catastrophisme. «Nous allons étape par étape mais nous progressons. Nous essayons d’identifier nos faiblesses. Il a une très bonne compréhension de ce qu’il fait, mais nous n’avons pas nécessairement les mêmes outils que les autres équipes et qu’il y a le fait qu’il découvre les gens et l’environnement de l’équipe.a commenté le leader français confiant à l’AFP en évoquant l’adaptation du champion du monde à sept heures à sa nouvelle équipe.
Frédéric Vasseur tries to positivate and reassure
Vasseur veut croire que le retard sur McLaren et Red Bull peut être réduit, sinon rempli. “Nous n’avons fait que 20% de la saison. Nous devons juste garder une approche positive comme nous savions comment faire l’année dernière”Il insiste. «Les McLaren sont un peu devant nous. Mais avec Red Bull et Mercedes, nous sommes dans le match. Nous devons débloquer ce problème des paramètres et de l’équilibre. McLaren est partie très, très forte, mais nous ne sommes qu’au début de la saison. Je crois que l’année dernière, nous avons toujours mieux fait le jour de la première minute, mais de la fin du football, il est toujours préférable de mener à la 15e minute, mais le fait de gagner le football, c’est mieux à la 15Vasseur détaillé avant le sixième tour du championnat sur 24 réunions. La mi-temps de la première période pour utiliser l’image utilisée par le patron de l’écurie italienne légendaire.
Lewis Hamilton Madness avec Ferrari
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