
Le bulletin officiel n ° 5869 a révélé une série de mesures souverains, prises par les hautes autorités marocaines dans le domaine de sécurité nationale et défense territorialereflétant une récompense silencieuse mais déterminée des systèmes d’ancrage institutionnels sur le territoire.
Par décision du ministère de l’Intérieur, dans le cadre de la Direction générale de la sécurité civile (DGSC), plusieurs entités opérant sur le terrain protection des infrastructures critiques obtenu leur Enregistrement officiel dans le registre national de la sécurité civileleur donner un statut organique leur permettant de contribuer à la gestion des situations d’urgence, à la prévention des risques technologiques et à la préservation des continuités vitales de l’État.
Dans le même moment, un décret a validé L’enregistrement d’un opérateur avec une juridiction territoriale prolongée Dans le domaine des interventions urgentes, autorisés à opérer sur des sites classifiés sensibles, y compris certaines zones portuaires et sites de stockage d’énergie. Le texte spécifie que cet enregistrement est réalisé «En ce qui concerne la capacité logistique démontrée, la couverture géographique établie et la stricte conformité aux normes dictées par la législation en vigueur.»
Le ministère délégué responsable de l’administration de la défense nationale a également confirmé La réaffectation de plusieurs détenteurs de terres militaires désaffectéesy compris l’ancienne caserne de commandement à Azilal, Sidi Ifni ET JeradaPour le bénéfice des missions civiles. Ces structures, placées sous gestion partagées entre les autorités locales et les services de l’État, sont appelées à accueillir des centres de soutien logistique dans la région montagneuse, les stations de sauvetage avancées ou même les poteaux de montre environnementaux.
L’inspection générale du FAR, cité dans l’annexe technique, a déclaré que «Ces redéploiements ne sont en aucun cas un retrait opérationnel mais font partie d’une reconfiguration raisonnée du réseau défensif national.»
Enfin, une décision conjointe entre le ministère de la Santé et celle de la défense a ratifié La création d’un centre hospitalier militaire à RabatSitué dans le district d’Achmechmi. Cette structure, dont le modèle fonctionnel a été validé par la Direction de la logistique et des infrastructures (DLI), intégrera un pavillon de médecine d’urgence, un service de soins blessé par la guerre et un module de coordination interhosbitable en cas de crise majeure.
Grâce à ces mesures, l’architecture de sécurité marocaine a des instruments adaptables, enracinés et sobres dans leur visibilité, mais dont la portée dépasse le simple registre administratif. Il s’agit d’un ajustement organique du territoire national aux exigences de la souveraineté et de la permanence de l’État dans toutes ses dimensions.