
C’est maintenant officiel. Le BeyfortusDestiné à immmuniser les bébés contre le virus principal derrière la bronchiolite est «très efficace» pour prévenir les infections graves chez les nourrissons, confirme une grande analyse publiée par la revue L’enfant Lancet et l’adolescent Ce vendredi 2 mai.
Connu sous le nom de «vaccin» contre la bronchiolite, le Beyfortus n’est pas un, bien que sa molécule, le Nirsvimab, soit injectable. D’autre part, c’est néanmoins un traitement efficace Empêcher le virus d’infecter l’organisation, affirme que l’étude a dévoilée ce vendredi, qui passe en revue 27 enquêtes menées au cours de la saison VRS 2023-2024 dans cinq pays (France, Italie, Espagne, Luxembourge des États-Unis).
Plus efficace pour les nourrissons de trois mois et plus
La bronchiolite, l’infection respiratoire des petits bronches très répandus et très contagieux est généralement sans grave six mois de vie. Mais cela peut parfois conduire à des urgences et des hospitalisations.
Et bonne nouvelle pour les jeunes parents: Le Nirsevimab réduit le risque d’hospitalisation de 83%81% d’admission en soins intensifs et 75% de cas d’infections des voies respiratoires inférieures chez les enfants de 12 mois et moins, ont conclu la méta-analyse dévoilée ce vendredi. De plus, la vaccination fournie par le traitement semblait plus efficace pour prévenir les nourrissons sur 3 mois (81%) celui de ceux de trois mois ou moins (76%), ont observé les chercheurs.
Un traitement remboursé jusqu’à 30%
Le traitement est déjà disponible accessible et très souvent disponible sur la liste d’attente. De plus, les pédiatres étaient inquiets, l’année dernière, la décision du gouvernement de limiter le remboursement du Beyfortus (anciennement pleinement compensé par l’État), aujourd’hui compensé jusqu’à 30%, Le reste étant porté par des mutuels.
À titre de comparaison, de nombreux vaccins pour les enfants sont remboursés à 65% et à ce que la rougeole est entièrement. Le remboursement inférieur du Beyfortus découle d’une évaluation de la haute autorité pour la santé (HAD), qui a qualifié son service médical rendu en tant que “modéré”.
Cette nouvelle étude permettra-t-elle à la mise à jour de son opinion? La haute autorité pour la santé avait déjà, l’année dernière, enregistré une baisse claire des hospitalisations grâce au Beyfortus. Mais il a également noté un manque de données convaincantes sur les conséquences les plus lourdes à gérer pour les hôpitaux, et en particulier les passages de soins intensifs.