La Cour fédérale a rejeté la demande du gouvernement fédéral visant à rejeter une demande d’indemnisation financière dans le cadre d’une action collective intentée par des personnes sans statut et le méstis impliqué dans le rassemblement des années 1960.
Le tribunal accède également à la demande des plaignants visant à obtenir une requête déclarant que la Couronne avait une obligation de diligence envers ces enfants, mais seulement celles placées ou adoptées dans le cadre du programme Adopter les méthois indiens (AIM) Des Saskatchwa.
Le Roundup des années 1960 fait référence à une période où les gouvernements du Canada ont supervisé le retrait à l’échelle importante de leur maison de leur domicile pour les faire vivre en dehors de leurs communautés, principalement avec des peuples non-choriginaux.
Un groupe d’action collective pour les survivants a permis au gouvernement fédéral de verser environ 750 millions de dollars de rémunération, mais les Métis ont été largement exclus de cette compensation, car les services de protection de l’enfance qui leur sont destinés ont été gérés par les provinces.
Métis et sans statut qui ont été retirés de leur famille lorsqu’ils étaient des enfants ont réuni des mesures collectives, arguant que le Canada devrait également les compenser. Cependant, la Cour fédérale a jugé qu’Ottawa n’était pas responsable.
La Cour fédérale a déclaré que seules les personnes placées ou adoptées par le programme BUT De la Saskatchewan est soumis à l’obligation de diligence du Canada, car ce programme a reçu un financement fédéral.
Clés pour comprendre le tour d’horizon des années 60
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Cela s’explique par le fait que le gouvernement fédéral a directement financéBUTqui, en tenant compte de la relation historique, crée la proximité nécessaire pour établir une obligation de diligence
a écrit le juge Sébastien Grammond, dans la décision rendue le 29 avril. Les dommages étaient prévisibles et aucune considération politique contraire n’est opposée à une telle obligation.
Le programme BUT Des campagnes ont mené des journaux annonçant des enfants mixtes à la disposition de l’adoption.
Le juge Grammond a déclaré que lorsque le gouvernement fédéral avait financé ce programme, il savait que le résultat serait la séparation permanente des enfants autochtones de leur famille et de leur communauté.
Cela ressortait clairement de la demande de subvention, et même du nom du programme lui-même, car l’adoption rompt la relation entre un enfant et ses parents biologiques
Il a écrit. Ce qui compte, c’est que le financement du programme ait permis les dommages qu’il aurait causés aux membres du groupe.
Le président de la Fédération Métis du Manitoba, David Chartrand, dont l’organisation travaillait dans l’affaire, s’est dit déçu par la décision.
Mais je pense qu’en fin de compte, la question doit vraiment être posée dans le gouvernement fédéral du Canada
Il a dit. Comment pouvons-nous résoudre le problème des Premières nations et laisser de côté les métis et les gens sans statut? Le gouvernement fédéral devra certainement regarder dans le miroir et poser cette question.